Coucou me revoilà…

Non mon blog n’est pas mort!!! Mais ma vie de la vraie vie a été pas mal occupée ces derniers temps. Après un changement de boulot en mars, 3 mois de travaux dans notre nouvelle maison, nous avons emménagé au milieux des peintres et des plombiers le 30 juin.

Avec pas moins de 100 cartons pour empacter toutes nos affaires, la couture et le blog ont été laissés sur la touche. Au milieux des cartons, je me suis remise au tricot pour combler mes envies créatives mais ce n’est pas le sujet du jour. Après 1 mois et demie dans notre nouvelle maison, mes machines chéries ne sont toujours pas déballées car ma pièce couture est à peine achevé. J’ai pourtant plus que hâte de m’y remettre… un dernier coup de pinceaux et ce sera bon.

Alors à défaut de vous montrer une cousette tout juste finie, je vais en profiter pour vous présenter tout ce que j’ai cousu avant le déménagement.

Vous vous souvenez, il y a fort longtemps, j’avais écrit un article appelé la robe à carreaux n°1 et puis plus rien. La n°2 et n°3 ont pourtant bien été cousues et voir portées mais pas photographiées…

La robe à carreaux n°2 que je vous présente aujourd’hui est la robe Gerda de la maison Victor de janvier-février 2017. Le tissu est un coton un peu épais légèrement stretch de chez pretty mercerie parfait pour une robe de mi-saison.

Je n’ai fait aucune retouche sur le patron, le dos ne baille pas trop mais est trop décolleté pour la frileuse que je suis pour être porté sans débardeur en dessous!

Peu de commentaire sur la couture car l’assemblage est plutot facile et comme souvent avec LMV il suffit de se laisser porter. Le devant tombe parfaitement grâce au découpes princesse (NB: je suis particulièrement fière de mes ajustement de carreaux sur ces découpes;-))

Petit plus pour certaine, la robe à des poches que j’ai pour une fois faites, même si je trouve au final que cela ne sert pas à grand chose quand comme moi, on se ballade avec un énorme sac à main!!’

Voila pour la reprise, la prochaine fois je vous parle de mon tricot boulet avant de vous montrer la robe à carreaux n°3 qui m’a donné beaucoup plus de fils à retordre!!!

Master piece??!

C’est comme ça que ce blazer numéro 114 du Burda de mars 2017 etait présenté dans le magasine… Cette expression me fait souvent sourire chez Burda car elle est souvent mise sur des modèles un peu originaux avec des tissus surréalistes qui donnent pas vraiment envie! Mais bref la n’est pas le sujet…

Alors pour la petite histoire ce petit blazer n’était pas du tout prévu dans mon planning couture « d’avant mariage » (cf les petites robes roses présentées ici) mais au détour d’une conversation avec ma Maman, il s’est avéré qu’elle n’avait pas de veste allant avec sa robe choisie pour le mariage de ma cousine.  Moi un peu sur le mode « même pas peur, je suis une déesse de la couture, dis moi ce que tu souhaites et je te le couds 🙂 », je lui ai proposé plusieurs possibilités et son choix s’est porté sur ce blazer de difficulté 4.

Ma maman est allé choisir son tissu au marché St Pierre et est revenue avec un lin d’ameublement d’une couleur magnifique mais d’une rigidité… tout autant magnifique! Malgré un lavage en machine, le tissu est resté très raide et assez difficile à épingler. Je ne ferais pas de commentaire sur ses hésitations quant au choix du modele après que j’ai eu passé plus d’1h30 à recopier les 12 pièces du patrons et au moins tout autant à les couper. Et mon « Non » catégorique sur le fait qu’une veste mi-longue n’aurait pas été plus appropriée, non mais!!!

Elle va très bien cette veste avec sa robe non?

Côté couture, le modele n’est effectivement pas très simple. La difficulté est surtout dans les découpes, notamment sur les pièces à angles droit:

 Quant à la pose de la doublure les explications sont plus que succinctes et elle n’est même pas dessinée sur le patron. Un peu d’expérience sur le sujet n’est pas du luxe pour en venir à bout. Au delà de l’aspect technique, j’avoue avoir eu beaucoup de mal à la finir à cause de la rigidité du tissu. La veste étant assez ajustée et j’ai eu peur que cela soit inconfortable donc importable.

Finalement je m’y suis mise sérieusement pour la finir in extremis.  Comble du comble, après l’avoir laissé en suspend longtemps sur mon plan de travail il n’est pas exclus que je me la couse un jour car j’aime vraiment beaucoup sa forme.

Un grand merci à ma maman et mon papa qui se sont prêtés au jeu des photos chacun d’un côté de l’objectif et bravo à ma maman qui s’est cousu une jolie pochette assortieàsa nouvelle veste.

Mais que faisiez-vous cet hiver?

Je cousais bien sur!!! Et oui j’ai proposé à ma cousine l’été dernier de coudre des petites robes pour le cortège de son mariage. Elle a trouvé une petite robe lors d’une brocante pour sa fille en taille 1 an et je l’ai reproduit en taille 3, 5 et 8 ans.

Je n’ai bien évidemment pas réussi à retrouver la couleur exacte de la robe de base malgré un « fouinage » intensif au marché Saint Pierre. J’ai donc acheté un grand métrage de soie sauvage, de popeline pour la doublure et du tulle et je me suis lancée dans la confection de non pas 5 mais 6 robes puisque j’en ai également cousue une en 1 an pour que toutes les petites soient assorties.

Je n’ai pas de photo des 6 petites filles mais voici un petit apperçu du mariage:

Tout d’abord, on attend avec impatience l’arrivée des mariés:

Puis on les escorte jusqu’à la mairie:

On pose un peu:

On se repose un peu pendant la messe après avoir fait le pitre sur les photos!

Et puis une petite dernière pour le plaisir car j’aime beaucoup ce moment d’entre aide :

J’ai pris grand plaisir à realiser ces petites robes même si je dois avouer que 6 fois le même modele, j’ai trouvé que c’était un peu redondant. J’ai un peu fait une overdose de rose sur la fin.

Mon rêve ultime serait d’avoir le niveau un jour de coudre une robe de mariée. Mes filles ont 3 et 5 ans, j’ai largement le temps de m’entraîner si un jour elles souhaitent franchir le pas 🙂

Lora

Un gentil message de Servanne s’inquiétant de mon absence prolongée et me voila de retour sur mon blog.

Pour résumé un peu le « hors couture » des derniers mois, je viens de changer de boulot et dans le même temps nous venons d’acheter une maison. Deux raisons qui m’ont tenus bien éloignée de mes machines, mais fort heureusement il me reste quelques projets non publiés à vous montrer.

C’est donc avec un grand classique de la Maison Victor que je sors de mon hibernation: la robe Lora.

Cette robe vue et archi revue depuis la sortie du numéro de sept/oct 2015, je l’ai toujours trouvé magnifique sur les autres mais j’étais persuadée qu’elle ne correspondait pas à ma morphologie. Elle n’a donc jamais fait partie de ma TO DO LIST.

Et puis j’ai fait un achat de tissu un peu compulsif sur pretty mercerie et j’ai reçu un tissu que j’ai eu envie de transformer en Lora.

Le patron est bien coupé et je n’ai fait aucune retouche ce qui est plutôt rare pour moi. Je la trouve très féminine et parfaitement adapté à mon nouveau boulot.

Aller je repars…. peut être à bientôt !

Ditte ou la robe à carreaux n°1

Ditte est le nom d’une robe du magazine LMV de mars-avril 2016. Magazine acheté un peu précipitamment sans le feuilleter à l’aéroport l’année dernière et pour lequel je n’avais pas franchement eu de coup de coeur.

Et puis il y a eu pas mal de robes façon chemise sur la blogo, alors j’y ai repensé à cette robe Ditte. Et puis finalement non car les chemises c’est vraiment pas mon truc et j’en porte très très rarement. J’ai eu peur d’y passer beaucoup de temps pour finalement pas la mettre, et puis… et puis il y a eu ce tissu de chez pretty mercerie avec son petit air Burberry. Et la, je l’ai vu ma robe Ditte:

Je n’avais jamais cousu de carreaux alors je me suis bien amusée sur les raccords évidemment mais surtout sur le sens du tissu. J’ai coupé la ceinture, la bande de boutonnage et le haut du dos dans la diagonale:

J’ai contrasté le dessous de col et l’intérieur avec une popeline noire:

Bref j’ai pris beaucoup de plaisir à jouer avec mes carreaux et ma popeline noire pour que la robe malgré sa couleur beige ne soit pas terne. Pour la taille, j’ai suivi les recommandations trouvées sur différents blogs et j’ai coupé une taille en dessous de d’habitude. Elle a encore un peu trop de volume à mon goût au niveau de la taille mais c’est lié au tissu qui a beaucoup de tenu (230g/m2) et sur lequel il n’a pas été simple de faire les fronces.

Au final, je l’aime beaucoup ma robe chemise. J’y ai passé du temps comme je me l’étais imaginé mais je la porte régulièrement c’est donc un pari réussi!!

Têtu… comme sa mère

Dans la série « idée fixe » je voudrais le fils. Eh oui, depuis que mon cher fiston a vu la petite veste cousue pour son cousin en septembre, il me demande toutes les semaines: « tu peux me faire un sweat avec le tissu de bébé Henri » ou « tu le commences quand mon sweat avec le tissu de bébé Henri » ou « c’est mon sweat que tu couds après? » Bref il est tenace mon fiston. Les mauvaises langues diront qu’il est le digne fils de sa mère. Pour ma part, je dirais juste qu’il a de la suite dans les idées… et également 2 mignons petits poings pour finir de me convaincre!!

Mais bref devant l’insistance assidue du fiston, bien que j’avais très envie de me faire un joli cardigan dans le dit-tissu… j’ai fini par cédé. J’avoue que le bleu layette pour mon fiston de 6 ans je le sentais pas trop. Je lui ai donc proposé de mixer avec un tissu contrastant et nous avons choisit le modele 16 du magazine printemps 2014 d’ottobre.

Au moment de recopier mon patron, je reste sur la base que mon fiston mesure à peu près qu’1m20 puisque c’est le constat que nous avons fait lors de notre passage au parc Astérix le week-end précédent. Je décalque, je coupe et je mets de côté jusqu’à la prochaine pause couture.

Raconté comme ça, la suite semble écrite d’avance! On est dimanche soir, je m’attele au pliage de mes nombreuses lessives du week end et je plie des T-shirt et des sweats en 128 et non 120cm. Prise de doute, j’attrape les manches de mon patron, les compare à un des sweats du commerce de mon fiston et réalise que le sweat tant convoité risque d’être un peu court.

Déçue, je laisse le tout en suspens à l’affût d’une solution miracle.

La nuit porte conseille c’est bien connu, le lendemain je reprends mon patron, décide de rajouter une bande bleue foncée sur les manches et une seconde sur le bas du corps pour rallonger discrètement le sweat. Le modele de départ n’a qu’une seule bande contrastante sur le bas du corps et rien sur les manches.

Comble du comble, le sweat est au final un peu long mais heureusement à la hauteur des espérances du fiston!

Coté couture, ayant une surjeteuse l’assemblage est assez simple. La seule difficulté est l’alignement des poches de chaque côté de la fermeture éclair. Dans la réalité, elles sont beaucoup plus alignées que sur les photos; mystère! Pour l’appliqué de la salamandre sur l’épaule je l’ai doublé avec une viesline épaisse pour qu’elle soit bien rigide et ensuite je l’ai cousu à la machine tout doucement.

J’adore coudre pour mon fiston car il est aussi expansif dans son bonheur d’avoir un sweat cousu par maman que dans l’énergie qu’il a mis pour me convaincre de lui coudre.

Un petit cocktail?

Attention l’abus d’alcool est dangereux pour la santé. Si j’apparais en double sur la photo ci-dessous il faut se poser quelques questions…

Bon ok j’ai un peu triché. Il faut dire qu’au départ j’avais cousu mais 2 tops pour le concours Thread and needle, « les 2 font la paire » mais nous n’avons pas eu le temps de faire les photos à temps avec mon très cher photographe. J’aimais bien l’idée de la vision double alors j’ai quand même fait le montage photo.

Le tissu est un coupon de viscose fluide trouvé sur le site italien Supercut. Je craignais qu’il soit un peu compliqué à coudre et qu’il nécessite un amidonnage mais il a suffisamment de tenue et a été finalement relativement facile à travailler. J’ai longuement cherché un patron adapté à ce tissu et c’est finalement 2 patrons que j’ai trouvé sur le site lekala.

Le premier est le modele 4286:

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Je n’ai absolument pas cherché à comprendre les instructions trop sommaires pour le montage du col et j’ai copié un haut du commerce un peu similaire que j’ai dans ma garde de robe. J’ai tout cousu en couture anglaise (y compris les emmanchures) pour que le haut résiste mieux à l’usure du temps. J’ai monté une fermeture invisible sur le côté comme préconisé dans le patron mais finalement je l’enfile et l’enlève sans en avoir besoin.

Le seul reproche que je fais à ce haut est le décolleté qui est bien trop plongeant à mon goût car avec le poids du noeud il a tendance à se décaler devant.

Le deuxième patron est le 4551:

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Pour le moment je n’ai pas encore eu l’occasion de le porter car il n’est pas franchement de saison mais j’attends les beaux jours avec impatience car je l’adore. Le décolleté est comme j’aime, le volant devant ne rajoute pas de volume disgracieux. Il m’a fallu beaucoup de réflexion pour réussir à caser ce 2e top dans les chutes du 1er en respectant à peu près le motif. J’ai cependant été obligée de couper la pièce de dos en 2 alors qu’elle aurait dû être d’un seul tenant. Comme pour le 1er, le montage est en couture anglaise et tous les ourlets ont un biais pour une jolie finition.

Voila pour mon duo cocktail. Vous reprendrez bien un petit verre? Non?

Veste d’automne… ou de printemps

Tout a débuté lorsque la marque « Louis et Antoinette » a lancé son concours sur le patron « Parisienne » en janvier 2016.  J’ai cogité le sujet, acheté le tissu, cousu une partie, racheté du tissu pour pouvoir faire de jolis raccords pour finalement réaliser que l’association robe-tissu ne me plaisait pas du tout. La robe est restée fort longtemps accrochée à une poignée de porte au stade semi-finie en attendant des jours meilleurs.

Et puis la maison Victor a publié son magazine de septembre-octobre 2016 que j’ai acheté pour le patron de la robe Wanda qui finalement après quelques semaines n’était plus dans mes envies du moment et le magazine est allé sur l’étagère des revues « jamais utilisées ».

C’est en re-feuillettant une einieme fois ce numéro, que ma robe Parisienne semi-finie et lui ont fait connaissance.

Apres une validation auprès de ma Marion au goût de plus en plus affirmé, j’ai donc coupé la veste Tilda dans feu ma robe Parisienne.

Quand je regarde la veste de ma fille, je me demande comment j’ai pu imaginer une robe dans ce jacquard d’ameublement…. Par contre en veste de demi-saison je le trouve plutot pas mal.


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Comment toujours avec LMV il suffit de se laisser guider. Le montage est très bien expliqué. Je signale cependant une erreur dans le métrage du biais. J’en ai utilisé presque le double de ce qui est mentionné dans le magazine. J’ai vraiment joué à Tetris pour caser toutes les pièces de la veste dans ma robe tout en respectant au mieux les raccords. Mais j’avoue que soigner les raccords est un truc que j’aime particulièrement. Cela ne me dérange pas du tout de passer un temps infini à bien positionner mes pièces pour que tout tombe parfaitement.

La veste a été cousue à la fin de l’automne. Marion n’a pu la mettre que 2 fois avant que l’hiver ne s’installe… elle attend sagement le printemps.

Le cadeau offert 2 fois…

Ma maman apprécie les cadeaux « home made » alors pour son anniversaire chaque année j’en profite. J’aime bien prendre du temps à chercher quel patron avec quel tissu pourraient lui plaire. J’y prends presque autant de plaisir que de réaliser le cadeau. Lui ayant cousu une robe l’an passé, j’avais envie de quelque chose de différent cette année et c’est la veste Mona de la maison Victor qui a remporté la palme. Ce patron je vous l’ai déjà présenté ici et , je n’ai donc plus trop de commentaires dessus si ce n’est que c’est quand même bien plus rapide de coudre un patron déjà decalqué.

Petit retour dans le temps, nous sommes en plein mois d’août, la chaleur est estivale mais on s’amuse à faire de jolie photos mère fille avec nos 2 nouvelles vestes.
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Et puis on range nos vestes au placard en attendant des jours plus frais. En septembre ma maman ressaye sa veste et tadam…. la doublure se déchire au milieu du dos. Toute penaude elle me la rapporte pour que je lui répare.

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Sauf que… j’ai horreur des retouches! Redemonter la doublure pour aller rattraper tout ça, rien qu’à l’idée une flémingite aiguë s’abat sur moi. Je trouve10000 projets bien plus sympa à realiser avant de reprendre celui ci.

Le temps passe tellement que Noël approche. Alors bon, un soir je me motive et finalement en à peine 1h je rajoute une bande au milieu du dos que je surjette par précaution. C’est sur que ce n’est pas ma plus belle réparation mais avec le tissu qu’il me restait j’ai fait au mieux!

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Le 25 j’emballe mon cadeau pour la seconde fois et le glisse discrètement sous le sapin. Voila l’histoire du cadeau offert 2 fois!

Façon PauleKa

Une fois n’est pas coutume c’est encore sur Pinterest que j’ai trouvé l’inspiration pour ma nouvelle robe:
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Le modele copié est une robe PauleKa de la collection 2015 bi-matière jersey et ottoman:

Comme j’ai cousu cette robe en plein mois de décembre il était inimaginable de ne pas lui rajouter des manches. Pour le patron comme pour ma robe précédente j’ai modifié le haut plantain de Deer and doe auquel j’ai rajouté la jupe du patron Moneta de Colette Pattern. Pour la ceinture, j’ai un peu bidouillé car contrairement au modele, j’ai tout cousu en jersey Milano et le plissé sur du jersey c’est pas très simple. La ceinture a un peu moins de tenue que sur le modele original mais j’ai fini par m’y faire.

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En résumé , c’est une robe bien confortable et rapide à coudre car réalisée en grande partie à la surjeteuse. Une petite cousette de week-end comme on les aime qui permet de parader fièrement le lundi matin avec une nouvelle robe!

Je finis ce billet en soulevant un problème existentiel: j’aurais bien aimé faire ma robe en blanc et noir avec la ceinture bleue mais je ne sais pas comment laver ce genre d’association! Je suis une grande maniaque du blanc bien blanc et du noir bien noir. Un peu le genre de personne qui fait une lessive des couleurs claires, des intermédiaires, des foncées et aussi une lessive de rose/rouge à part car c’est une couleur dangereuse :-). Bref une robe blanche et noire… je ne sais pas avec quoi la laver. Question existentielle quand même, non!